lundi 22 janvier 2018

"Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut pas tenir."


Au coeur de la Semaine mondiale de prière pour l'unité des Chrétiens, la parole de Jésus sonne comme un avertissement: lui-même parle de satan, mais nous avions cru reconnaître les divisions même entre catholiques sur des points pourtant non-négociables. Heureusement que le Seigneur a promis que les portes de l'enfer ne l'emporteraient pas sur l'Eglise. Mais nous-mêmes, où en sommes-nous? de notre unité avec la Sainte Eglise dans sa Tradition ininterrompue et vivante depuis 2000 ans. Ceux-là seuls ont promesse de vie éternelle qui persévèrent en son sein de corps et d'âme. A l'inverse, quels liens le monde nous impose-t-il, qui vitrifient en nous la grâce et nous soumettent au pillage: celui qui a, on lui donnera encore; mais celui qui n'a pas se fera enlever même ce qu'il a. Nous évoquions en commençant l'ordre dispersé avec lequel le plus souvent nous allons au combat pour le bien commun. Mais pourquoi donc la première lecture nous dit-elle aujourd'hui: ils allèrent prendre David et lui donnèrent l'onction pour le faire roi?


Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire