samedi 14 janvier 2017

"Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs."


Aujourd'hui, messe pour la Paix, avec le formulaire de la messe en l'honneur de la vierge Marie Reine de la Paix. On se rappelle, en cette année du centenaire des apparitions de Notre Dame à Fatima, que lors de la dernière apparition, elle s'est présentée comme Notre Dame du Rosaire, et apparue aussi dans le ciel comme Notre Dame de la Paix. Comment alors ne pas repenser une nouvelle fois à ses demandes et à ses promesses: si on récite le chapelet chaque jour, on aura la paix. Se peut-il que là où tous les gouvernements du monde échouent, les petits du Seigneur réussiront?


vendredi 13 janvier 2017

"Empressons-nous donc d'entrer dans ce repos-là."


Aujourd'hui, messe en l'honneur du Sacré-Coeur de Jésus en réparation de nos péchés.
Providentiellement les lectures de la messe de ce jour, nous invitent à entrer dans le repos de Dieu. Aller reposer sur le Coeur du Christ, comme saint Jean à la dernière Cène: c'est aussi un acte de foi monumental. C'est ce qui explique qu'on se précipite sur Jésus pour des guérisons, mais pas pour répondre à son appel: venez à moi, vous qui peinez et ployez sous le fardeau, et vous trouverez le repos pour vos âmes, car je suis doux et humble de coeur.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

jeudi 12 janvier 2017

"De partout on venait à lui."


Aujourd'hui, Messe pour commencer une année: qu'elle soit une année de bonheur et plus encore une année de fidélité à l'Evangile.
Providentiellement, la coïncidence liturgique nous fait entendre le commentaire de la Lettre aux Hébreux sur l'aujourd'hui du psaume 94, qui se termine par une exhortation à la persévérance: maintenons fermement jusqu'à la fin, notre engagement premier. C'est la lumière de la Foi qui habite ainsi chaque instant de notre vie en même temps qu'elle la surplombe: Dieu avec nous.




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mercredi 11 janvier 2017

"Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait."


Pour détruire les oeuvres du diable, Jésus nous libère de tout ce qui nous tient sous son joug, et particulièrement les péchés qui nous entravent si bien. Mais en annonçant la résurrection dans sa Personne, il nous libère de la peur de mourir et nous établit ainsi d'emblée au-dessus de tous les pouvoirs d'ici-bas qui savent tout obtenir dans leur arbitraire, par la menace de mort. Les premiers chrétiens se caractérisaient dans l'Antiquité par cette liberté nouvelle des enfants de Dieu: et nous, resterons-nous esclaves d'un système à bout de souffle, alors que nous avons en plus par rapport à eux, le témoignage de 2000 ans de Christianisme?




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mardi 10 janvier 2017

"Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth?"


Dès cette première page de l'Evangile selon saint Marc, on visualise tout à fait ce que saint Jean affirme dans sa Première Lettre: le Fils de Dieu s'est manifesté pour détruire les oeuvres du diable. Mais nous-mêmes, nous résignons-nous à une collusion toujours plus profonde à son action maléfique, ou bien mettons-nous courageusement et humblement les moyens surnaturels que le Christ a donné à son Eglise et singulièrement à chacun d'entre nous aussi: signe de croix, eau bénite, prière pour la conversion des pécheurs, confession, adoration eucharistique et saint sacrifice de la Messe, jusques et y compris ce qu'indiquait Notre Dame à Fatima il y a déjà cent ans.




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lundi 9 janvier 2017

"Aussitôt, laissant là leurs filets, ils le suivirent."


Le commencement de la Lettre aux Hébreux prolonge pour ainsi dire la contemplation du mystère de l'Incarnation dans une tonalité pascale, qui recouvre bien le mystère du Baptême du Seigneur. L'essentiel de la foi chrétienne tient en la confession de la divinité du Christ, sa mort pour nos péchés, et sa résurrection pour notre vie. Du coup, on comprend dans l'Evangile, que la première chose que Jésus fasse, c'est d'appeler ses premiers disciples. En effet, il n'est pas un messager: ce qui lui importe c'est que les hommes découvrent le mystère de son identité, et la révélation inouïe que cet homme est Dieu, et puissent en témoigner désormais sur toute la terre et jusqu'aux extrémités du temps.




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dimanche 8 janvier 2017

Fête du Baptême du Seigneur

"Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui je trouve ma joie."


Le Saint Père insistait pour le Baptême du Seigneur, dans la prophétie d'Isaïe, reprise dans l'Evangile selon saint Matthieu, sur la douceur du Seigneur Jésus qu'il nous faut également imiter. Mais il faut bien voir aussi la toute-puissance de cette douceur. Dès le premier instant de l'Incarnation, Jésus est vainqueur du péché, de la mort, et de satan, avant même le duel prodigieux de Pâques. De fait, Jésus dans l'unité de sa Personne est vrai Dieu et vrai Homme. Rien ne peut donc plus jamais séparer Dieu et l'homme: fini les péchés, épuisée l'iniquité, exit satan.