samedi 22 avril 2017

"Il leur reprocha leur manque de foi."


Un manque de foi dans la résurrection du Christ, que l'on peut prolonger jusqu'à nous, après 2000 ans de promulgation universelle de l'Evangile, et pour notre époque récente, un Pie XII, un concile Vatican II, un saint Jean Paul II, un Benoît XVI et un Pape François. C'est en évangélisant que la foi se fortifie, et ce qui est une solution est précisément notre problème. Contre le laïcisme et la sécularisation qui nous inhibe si profondément, il faut affirmer depuis les Actes des Apôtres: il n'y a pas d'autre nom que celui de Jésus pour être sauvé; il vaut mieux obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes; nous ne pouvons pas nous taire.




Sur le site de la Doctrine Sociale de l'Eglise:


Demain 23 avril 2017:
élection présidentielle; saint Georges pourfendant le dragon; Dimanche de la Miséricorde.

Seigneur aie pitié de nous et rends-nous forts contre le mal

vendredi 21 avril 2017

"C'est le Seigneur."


Les lectures de la messe de ce jour nous aident à comprendre le renouveau pascal qu'apporte la Résurrection du Christ à notre vie spirituelle: ce n'est pas du tout un retour à la simple vie terrestre d'avant la mort. C'est l'entrée dans la gloire et la possibilité de partager cette gloire, dès ici-bas, à ceux qui croient et deviennent alors avec Jésus comme une seule personne mystique. Il n'y a pas d'autre nom donné aux hommes pour être sauvé.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

jeudi 20 avril 2017

"La paix soit avec vous."


Durant l'octave de Pâques, qui nous relate les apparitions de Jésus ressuscité, nous découvrons que l'accès au Seigneur se fait par l'entrecroisement de quatre registres: le réalisme objectif de sa résurrection, l'accomplissement des prophéties, l'incidence sur notre propre vie, le témoignage apostolique et ecclésial. Tel est le lot des disciples du temps, tel est aussi notre lot, avec cette différence favorable pour nous, que nous sommes après la Pentecôte et 2000 ans de christianisme sur tous les continents et dans toutes les cultures.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

mercredi 19 avril 2017

"Reste avec nous Seigneur, car il se fait tard."


Nous reconnaissons dans l'apparition de Jésus ressuscité aux disciples d'Emmaüs quelque chose de notre messe. C'est dans la foi qu'on reconnaît Jésus et qu'on communie à sa présence et à son action vivifiante et sanctifiante en nous. Croire non seulement aux prophéties, mais à la parole de Jésus lui-même. Ce qui nous manque, comme à ces deux disciples, c'est la simplicité dans la foi: non pas le relativisme qui nous infeste de partout, mais la réalité dans sa simplicité; je n'ai ni or ni argent, mais Jésus est avec moi, au nom de Jésus lève-toi et marche.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

mardi 18 avril 2017

"S'étant retournée, elle lui dit: Maître."


Les lectures de la messe de ce Mardi de Pâques insistent sur l'importance constante de la conversion pour reconnaître Jésus ressuscité et vivre de lui dès ici-bas: deux "retournements" pour Marie Madeleine dans l'Evangile, la conversion pour ceux qui écoutaient Pierre le jour de la Pentecôte, et si l'on n'avait pas compris l'orientation toujours à reprendre vers le Ciel: ne me retiens pas, je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

lundi 17 avril 2017

"Ses disciples sont venus voler le corps, la nuit pendant que nous dormions."


Dès le lendemain du Dimanche de Pâques, la parole de Dieu nous montre que le grand Miracle de la Résurrection ne s'impose pas à nous comme une évidence, mais interpelle notre foi. Ainsi les fables qui se répandent, et les mensonges, pour éviter d'avoir à reconnaître et confesser. Ainsi également l'argumentation déployée par saint Pierre, et le Seigneur lui-même: il avait annoncé d'avance ce qui est ensuite advenu, afin que notre esprit puisse prendre la mesure de ce qui se passe et l'accepter. Longue pédagogie divine remontant aux prophéties, afin que l'adhésion de notre esprit reste libre et puisse répondre à l'Amour par l'amour.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

dimanche 16 avril 2017

DIMANCHE DE PÂQUES

"Il est ressuscité comme il l'avait dit."


La Résurrection du Christ est une oeuvre de puissance: la mort est vaincue, sur lui elle n'a plus aucun pouvoir.




Il vit et il crut. Et nous-mêmes? Nous voyons aujourd'hui beaucoup plus et beaucoup mieux que saint Pierre et saint Jean: le saint Sépulcre où viennent des pèlerins du monde entier, de génération en génération, et ce serait pour un cadavre qui n'est même pas là? Le linceul "retombé là", dans lequel seule la science moderne et ultracontemporaine a pu découvrir les informations qui ont été encryptées à notre intention sur un tissu d'il y a 2000 ans: ce qui était pour les premiers chrétiens les traces de la sueur, du sang et des parfums, s'est avéré être un négatif photographique, une représentation absolument exacte de la circulation sanguine et de la physique des fluides, et l'I.R.S.C. qui a finalement emporté l'adhésion unanime de tous les scientifiques ayant étudié le linceul de Turin. Scientifiquement, il ne peut être que le linceul de Jésus de Nazareth, celui dont parle l'Evangile que nous proclamons à la messe du Jour de Pâques. C'est le film du mystère pascal: les coups et souffrances de la Passion, la blessure au côté après la mort du Christ, son ensevelissement, et l'Impression Retrait Sans Contact qui ne peut être due qu'à ce que l'Eglise proclame depuis les temps apostoliques, la Résurrection du Christ.
Alors, croirons-nous qu'il est ressuscité parce qu'il était bien Dieu comme il le prétendait? Ou encore qu'il est Dieu parce qu'il est ressuscité?