mardi 2 juin 2015

"Ma femme, Anna, pour gagner sa vie, exécutait des travaux d'ouvrière."


Aujourd'hui, messe annuelle de l'ANFEM. 
Par courtoisie envers l'archidiocèse de Lyon, nous faisons mémoire des saints Pothin, Blandine et leurs compagnons, martyrisés dans le dernier quart du deuxième siècle, les prémices de la foi dans notre pays. De fait, c'est le siège du Primat des Gaules. Nous connaissons le récit de leur martyre par la lettre des églises de Vienne et de Lyon aux églises d'Asie mineure, citée quelques dizaines d'années après, par Eusèbe de Césarée: de fait, il y avait encore en ce temps-là dans l'église de Lyon des gens venus du Proche et du Moyen Orient. Quand donc le Cardinal Primat, se rend en Orient auprès des chrétiens persécutés, il manifeste ce même mystère de l'Eglise Une et indivisible au long des siècles, mystère aussi de l'iniquité qui s'oppose au mystère de la piété, de la pitié et de la miséricorde divine.
Que nous soyons concernés au premier chef, et particulièrement vous, femmes, mères, filles de militaires, nous le comprenons aussi de la délicatesse de Dieu, qui nous propose providentiellement dans la première lecture, la figure de la femme de Tobith dans laquelle plusieurs d'entre vous se seront certainement reconnues.



Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

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