lundi 23 février 2015

"Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis le Seigneur."


Nous n'en finirons jamais de nous émerveiller, d'adorer, la présence de Jésus Christ, notre Dieu et notre Seigneur, auprès des pauvres et des petits: ce que vous avez fait aux plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait. Et encore leur fragilité n'est-elle qu'un signe, ou une participation peut-être, à la pauvreté abyssale de Jésus, son abaissement, son dépouillement, lui qui était de condition divine il se fit semblable aux hommes, obéissant jusqu'à la mort et la mort de la Croix; c'est pourquoi Dieu l'a élevé et lui a donné le Nom qui surpasse tous les noms. Du coup on comprend comme en tournant le dos au Christ, en proscrivant le Nom de Dieu, nos sociétés modernes ont aussi piétiné la dignité de la personne humaine en une barbarie sans précédent dans toute l'histoire. Mais paradoxalement, les malheureux en notre temps, seraient comme un réservoir de la Miséricorde divine pour nous sauver s'il est possible? Le Pape François semble le penser, à la suite de Benoît XVI et de saint Jean Paul II.



Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

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