mardi 25 février 2014

"Créatures adultères: l'amour pour les choses du monde est hostilité contre Dieu."


On pourrait lire la Lettre de saint Jacques, comme on entend le Pape François à l'Angelus ou en homélie: encore faut-il se laisser confondre par la Parole et changer résolument de mentalité et de vie, en se tournant vers le Seigneur, et en cherchant en toute chose sa Face. Nous n'arrivons pas encore à comprendre, étant donné l'emprise de l'idéologie dominante, qui est utilitarisme et orgueil prométhéen de la technologie, que ce monde passe avec toute sa gloire: seule demeure la promesse inouïe de notre Dieu, de nous faire vivre avec lui éternellement dans la joie de sa maison. Le Christ n'est pas une option parmi d'autres, il est le Sauveur: cela signifie purement et simplement qu'en dehors de lui, tout est perdu. Ainsi ce qui fait l'essentiel de l'existence pour la plupart, n'est rien en réalité, illusion désastreuse et qui se résoudra en vide terrible alors que nous sommes faits pour étreindre la plénitude de Dieu.
On comprend alors que Jésus propose l'enfant comme symbole réel du mystère: accueillir à la manière d'un enfant, comment le découvrir mieux qu'en accueillant les enfants? Et qui sondera l'annonce de la Nuit de Noël: un enfant vous est né, un fils vous est donné, l'insigne du pouvoir est sur ses épaules, il est le Christ Seigneur, dans la cité de David.


Le 25 du mois: Noël en l'honneur de l'Enfant Jésus de Beaune, le Petit Roi de Grâce

Et le Verbe s'est fait chair, et il a habité parmi nous!

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