"Au commencement de la création, il les fit homme et femme."
Le Pape François dans son exhortation apostolique sur la joie de l'Evangile, insiste sur le fait que l'homélie ne doit pas compliquer ce qui est simple dans la bouche de Jésus, ne doit pas non plus obscurcir ce qui est clair et limpide dans la prédication du Seigneur: ne pas édulcorer son enseignement, pour ne pas priver les fidèles aussi de la grâce qu'il leur communique tandis que lui-même leur parle.
Cette recommandation du Saint Père s'applique de façon salutaire à la page que nous venons d'entendre: celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle. Si une femme a renvoyé son mari et en épouse un autre, elle est coupable d'adultère. Et la première lecture y insiste: que votre oui soit un oui, que votre non soit un non, ainsi vous ne risquerez pas d'être condamnés.
Le cardinal préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, ce n'est plus Ratzinger mais Müller, affirmait en préparation du Synode sur la famille: la question n'est pas la communion sacramentelle; le problème et les blessures, c'est le divorce, et les enfants qui n'ont plus leurs parents et sont contraints de vivre avec d'autres qui ne sont pas leurs parents. Il semble que ce cardinal de la Curie romaine, ait plus de coeur que nos ministres qu'ils soient homme ou femme, et que nos sages quel que soit leur genre.
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