"Je crois en Jésus Christ, qui a souffert sous Ponce Pilate."
Photo internet
Aujourd'hui, messe en temps de guerre ou de troubles graves, prêtant pour ainsi dire nos coeurs à nos frères syriens, pour faire monter, à la demande du Saint Père, de toute la terre, le cri de la paix. Et la coïncidence liturgique nous fait entendre l'Evangile de la pêche miraculeuse et la vocation des premiers apôtres: la surabondance du don de Dieu nous est toujours à disposition dans la sainte Eglise, tandis que le monde voudrait nous faire croire que Dieu nous a abandonnés, que Jésus est mort, et que le diable est vainqueur. Un Evangile que le bienheureux Jean Paul II nous avait donné en entrant dans le Troisième millénaire et pour ce XXI° siècle qui semble vouloir tuer l'Espérance: "avance au large". Et encore: par nous-mêmes, rien du tout; mais "sur ta parole" je jetterai les filets. Oui, mais si "laissant tout" nous le suivons: conversion pour l'Année de la Foi!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire