vendredi 14 juillet 2017

"Soyez prudents comme les serpents et candides comme les colombes."


La coïncidence du 14 juillet avec le Vendredi et la messe votive en l'honneur du Sacré Coeur de Jésus, avec pour Evangile l'annonce des persécutions, nous amène à penser que cent ans avant la révolution dite française, Jésus avait demandé que le Roi mette le Sacré Coeur sur ses étendards. Louis XIV ne le fit pas, et lorsque Louis XVI s'y éveilla, il n'avait déjà plus d'étendard ni rien d'autre à consacrer que sa propre mort en expiation. Or, Soeur Lucie de Fatima rapporte que Notre Dame a parlé de cela, à propos de la consécration de la Russie qui tardait à venir, empêchant du même coup l'instauration dans le monde de la dévotion au Coeur immaculé de Marie: le Saint Père le fera, mais comme le roi de France, ce sera trop tard. Mais à la fin mon Coeur triomphera.




Le 14 novembre 1945 Jésus dit à Van: Petit enfant de mon amour, écoute. Je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent:
Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un coeur ardent à répandre ton règne dans tout l'univers. Amen.
Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que je veux entendre de leur bouche: elle jaillit de mon Coeur brûlant d'amour.

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