jeudi 9 mars 2017

"Cherchez, vous trouverez."


Si vous qui êtes mauvais, savez donner de bonnes choses à vos enfants: le Saint Père rappelait en début d'année les enfants-soldats. Pensons aussi aux petits bourreaux de l'Etat Islamique, garçons de huit ou dix ans qui exécutent les prisonniers comme on le leur a appris. Et que dire des sites pédopornographiques soutenus par l'Education Nationale, la plaie du divorce qui laisse les enfants orphelins de leurs parents vivants, l'avortement qui en tue plus de 200 000 chaque année, sous la V° République, avec une barbarie qui n'a d'égal que le cynisme avec lequel les interventions sont effectuées et remboursées à 100% comme un droit fondamental. Non, nous qui sommes mauvais nous donnons de mauvaises choses à nos enfants, et nous perdons du même coup le dernier rayon de lumière, nous ne pouvons plus retrouver la bonté du Père. Nous sommes complètement perdus. C'est dans ce contexte que nous atteint la bonne nouvelle du Carême: jeûne, prière, aumône, ne sont pas des ornements à rajouter à notre âme parce que dans sa coquetterie spirituelle elle le vaut bien; nous devrions au contraire nous précipiter dessus avec excès, pour demander pardon, pour réparer, pour supplier que Dieu ne nous abandonne pas à nos péchés, nous purge de toutes ces horreurs.




Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

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