"L'enfant n'est pas morte: elle dort."

Aujourd'hui, fête de saint Jean Bosco. Nous connaissons sa vision dite "des trois blancheurs" auxquelles nous devons rester arrimer: l'Eucharistie, la Vierge Marie, le Saint Père. Reconnaissons aussi que c'est par un esprit résolument surnaturel en même temps que dans une grande simplicité humaine, qu'il a pu ramener à Dieu les "racailles" de Turin, dont plusieurs sont devenus des saints en peu de temps. Avec entre autres, deux moyens tout simples: obéir sans les quelques secondes de discussion qui font perdre presque tout le bénéfice spirituel de l'obéissance; l'exercice de la bonne mort qui consiste à passer chaque mois une journée comme si on allait mourir le soir.

Or justement la coïncidence liturgique nous présente ces deux moyens spirituels ultra rapide de la haute sainteté, vécus par Jésus lui-même: dans la Lettre aux Hébreux l'obéissance de Jésus jusqu'au sang; concordant dans l'Evangile avec l'annonce de la Résurrection. 

Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

L'apostolat des laïcs n'a rien de profane