vendredi 25 novembre 2016

"Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas."


Aujourd'hui, messe en l'honneur du Sacré Coeur de Jésus: ce qui éclaire grandement les textes apocalyptiques de ces derniers jours de l'année liturgique. Jésus est vivant, ressuscité: sa chair glorieuse a une réalité plus consistante que l'univers d'ici-bas. De sorte que les cieux et la terre nouvelle ne sont pas des images, mais des réalités qui nous sont promises, car nous demeurerons dans le Christ éternellement. C'est la raison pour laquelle l'apocalypse, selon la foi chrétienne, est foncièrement bienheureuse et non pas terrifiante: comme un figuier qui bourgeonne, comme aussi pour des noces. Très éloigné, en fait, des perspectives millénaristes qui ont brodé à partir de la vision que nous avons en première lecture de la messe de ce jour.





Sur le site de la Doctrine Sociale de l'Eglise:


Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

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