"Simon, fils de Jean, m'aimes-tu vraiment?"
Nous célébrons aujourd'hui la messe en l'honneur du Coeur Immaculé de Marie, pour répondre à l'appel de Notre Dame de Fatima, de nous consacrer à son Coeur Immaculé, afin de hâter le règne du Christ. Ces paroles reprises de façon prophétiques par le pape Benoît XVI lors de son pèlerinage à Fatima en 2010, désignait le septénaire d'années nous conduisant au centenaire des apparitions en 2017, comme étant décisives. De sorte que le message de Fatima, y compris le 3ème secret, qui a dominé le XX° siècle, semble devoir éclairer aussi au XXI° siècle le temps très particulier que nous traversons.
Providentiellement, les lectures de la messe de ce jour focalisent le point crucial: tout n'a de sens que par rapport à un certain Jésus qui est mort et dont Paul prétend qu'il est vivant. Notre confession de Jésus ressuscité et la proclamation du kérygme à temps et à contre temps ne trouve son efficacité surnaturelle que par l'humble contrition de celui qui ne tient debout que par la miséricorde de son Seigneur, le rendant capable de le suivre à travers la mort jusque dans la gloire.
Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:
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