mardi 17 mai 2016

"Ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand."


En lisant la Lettre de saint Jacques, on croirait entendre le Pape François: ne savez-vous pas que l'amour pour le monde rend ennemi de Dieu? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu. Quand aurons-nous le courage de confesser cela: oui, Seigneur, c'est vrai, prends pitié de nous, fais-nous revenir à toi et nous serons sauvés d'une perte éternelle. Il n'y a pas d'autre voie que celle de la Croix de Jésus: que cela nous rentre bien dans la tête et habite toujours notre coeur. Aimons ce que la Passion de Jésus Christ nous a mérité, et demeurons en Esprit là où lui-même demeure, dans le sein du Père. Voilà pourquoi le grand remède pour notre temps particulièrement, est de nous tourner vers les enfants. Rien d'enfantin, encore moins cet horrible jeunisme qui gangrène tout: mais l'adoration du vrai Dieu, le seul Dieu, le Dieu vivant, créateur et sauveur, auquel renvoient les enfants sans même s'en rendre compte. C'est d'ailleurs pourquoi ils ne lui font pas écran, comme le font les grandes personnes, sans s'en rendre compte non plus. Par leur humanité même, comme sortie de ses mains; par leur besoin d'être accompagnés, précédés et suivis afin de devenir eux-mêmes.


Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:

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